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Sarkozy vu par la presse étrangère je cite :
Süddeutsche Zeitung (Allemagne), 21 décembre : "Ehonté, irritant, narcissique (...) Ses prédécesseurs aussi aimaient le luxe. Chez Sarkozy, cependant, cela tourne vite au vulgaire."
Berliner Zeitung (Allemagne), 24 décembre : "Les Français ne peuvent que constater à quel point ce nouveau Napoléon est imprévisible".
Le Soir (Belgique), 26 décembre : "Sarko termine 2007 sûr de lui, arrogant, espérant mettre un voile sur ses premiers vrais déboires".
NRC-Handelsblad (Pays-Bas), 27 décembre : le quotidien s'interroge sur "ce qui se déroule vraiment à l'Elysée, où l'on semble tourner un remake de Louis de Funès".
Le soap opéra des productions Elysée continu de plus belle. Les Français ont signé, qui se tranforme malheureusement en : "en ont pris", pour 5 ans jusqu'en 2012 minimum...
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Les panneaux d'affichage libre, innauguré en septembre par le maire de Nogent sur Marne, Jacques J-P Martin, qui depuis septembre permettait aux candidats, de diffuser leur image, aux élections municipales de mars prochain, ont été purement et simplement supprimé...
Les courriers envoyés, au maire, par l'ensemble des candidats depuis près d'une semaine, sont pour l'heure restés "lettre morte"...
Sans doute est-il plus préoccupé par l'annulation pour la 3ème année consécutive du budget primitif de la communes...
Vive la liberté d'expression!
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Le 4 février prochain à lieu, à Versailles, le vote polémique, sur le Traité Simplifié (de 290 pages environ...) de Lisbonne et le 8 ou le 9 février auront lieu les Noces de notre omniprésident.
C'est forcement un hasard de calendrier...
Bonne Année à tous
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Adhérent du Mouvement Démocrate, je suis présent dans la liste des Jeunes Actifs Franciliens conduite par Christelle Carcone, la toute première sexy centriste, à l'élection du Conseil National. J'ai eut l'occasion de travailler avec elle et tout ce que je peux vous dire c'est que se ne sont pas la motivation, l'implication et le dévouement qui lui manquent.
C'est donc tout naturellement que je lui apporte mon soutien et mon amitié.
Pour lire sa profession de foi c'est par ici
Pour faire plus ample connaissance avec Christelle, c'est par là
Pour apporter votre soutien à notre liste rejoignez notre groupe sur Facebook .
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Voici ce que l'on peut lire dans l'Edito du magazine VSD de cette semaine qui a comme des accents de lettre d'excuse...suite à la "annulation" de parution de l'interview de François Bayrou initialement prévue le 29 novembre mais retirée sans doute malencontreusement... à la dernière minutes par la rédaction...
"Balle au centre
L'heure du bilan 2007 va sonner. Au chapitre politique, très riche en rebondissements, révélations ou trahisons, François Bayrou restera comme un des hommes de l'année. Parce qu'il a secoué le cocotier, parce que son discours et son attitude ont fédéré (plus que convaincu ?) près de 20 % de l'électorat au printemps, parce que les Français aiment les don Quichotte en lutte contre les moulins à vent de l'ordre établi. Mais 2008 s'annonce plus délicate pour le tout nouveau président du MoDem, qui revendique près de soixante mille adhérents. Ce week-end, il n'a pas eu recours à l'autocratie pour prendre la tête du parti qu'il a fondé sur les cendres de l'UDF. Il n'y avait personne, dans les travées de Villepinte, pour concurrencer la candidature de François Bayrou, l'homme le plus quitté de France. Dans l'ordre de disparition en scène : Claude Goasguen, Jean-Louis Borloo, Hervé Morin, André Santini et, enfin, Jean-Marie Cavada, entre autres infidèles partis chercher fortune plus à droite. En réponse à la défection de ses lieutenants, Bayrou a lâché une de ces petites phrases dont il détient le secret : « Les branches ne tombent pas parce qu'il y a du vent mais parce qu'elles sont mortes. »
Peut-être bien, mais tout de même, se pose-t-il les bonnes questions, ce skipper solitaire ? En politique, il arrive que l'on perde, même porté par la foule : malgré les sept millions de voix récoltées au premier tour de la présidentielle, il avait disparu de longues semaines du paysage. Mais une chose est sûre : en politique, on ne gagne jamais tout seul. Déterminé, convaincu qu'il peut surprendre aux prochaines municipales mais conscient de son isolement, il semble dire aux Français : « déçus de tous les partis, donnez-vous la main et rejoignez le MoDem pour réussir l'autre révolution orange (couleur officielle du mouvement) ! ». Et de répéter inlassablement que ces mêmes Français ne veulent plus de l'opposition droite-gauche. La présidentielle lui a déjà donné tort une fois. On attend désormais que son « commando de transformation de la société » cesse de vilipender les camps d'en face, pour se mettre au boulot et porter des idées concrètes, nouvelles. Face au « monarque », que ses troupes dénoncent si souvent, et en l'absence d'opposition socialiste consistante, Bayrou a droit à une deuxième chance. Balle au centre"
Olivier Cabréra
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